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Actualité en 2024

Dimanche 8 décembre 2024 : la sortie du club, courte, pas trop rapide, empruntait un parcours relativement peu difficile. Le vent soufflait fort mais heureusement la pluie était absente.
Dimanche 1er décembre 2024 : sortie avec le club, mais le parcours est beaucoup trop accidenté pour être inclus dans un entraînement hivernal. Il vaut mieux accepter de lever le pied (même les deux !) afin de ne pas risquer d'être fatigué au printemps et de rouler toute l'année en bourin.
Vendredi 29 novembre 2024 : enfin un bel après-midi ensoleillé, c'est l'occasion de faire une balade agréable.
Mercredi 27 novembre 2024 : encore une journée tristounette. Faire du vélo redonne des couleurs :
Mardi 26 novembre 2024 : agréable sortie RCPC.
Lundi 25 novembre 2024 : sortie vintage écourtée à cause de la pluie. Aujourd'hui j'ai franchi le pont du petit-Anjou sans souci car le vent s'était calmé ! Photo de la randonneuse cyclo-camping "Royal Stella" de la fin des années 40 (faire un double-clic pour l'agrandir) :
Dimanche 24 novembre 2024 : je rejoins le lieu de départ de la sortie du club, mais je suis un peu chahuté par les bourrasques de vent en traversant le pont de la basse-chaîne. Peu de candidats au départ, plusieurs envisagent de rentrer car le vent rend dangereux de rouler en groupe. Je fais partie de ceux qui ont atteint l'âge de raison, donc je pars seul faire un petit tour sur des routes peu utilisées par les voitures. Je traverse le pont du petit-Anjou à la vitesse d'un piéton puis je choisis de rouler surtout à l'abri des haies. Deux petites heures de balade en évitant de rouler sur les nombreuses branches cassées qui sont tombées sur la chaussée.
Jeudi 21 novembre 2024 : attention la neige arrive en Anjou :
Mercredi 20 novembre 2024 : sortie avec le club. Mais d'abord un nouveau passage en forêt de Longuenée, située sur le parcours du Rayon de Renazé. Un participant m'a signalé qu'une partie de la route forestière est en mauvais état. L'office national des forêts ne semble plus entretenir la portion de 3,300 kilomètres qui va de l'étang au carrefour avec la D 122. Actuellement la route est recouverte de feuilles mortes, ce qui n'empêche pas d'y circuler à vélo, à mon avis. Mais je sais que mon état d'esprit plus tourné maintenant vers la découverte et l'excursion est ultra minoritaire parmi les cyclos actuels. Je vais donc prévoir un contournement de cette partie forestière tout en continuant à proposer à ceux qui ne la connaisse pas de la découvrir car cette longue ligne droite forestière de 5 kilomètres (au total) n'est pas banale. Ensuite j'ai rejoint le parcours du club. A part une côte, un peu longue pour cette période de trêve hivernale, ça s'est bien passé. Je suis d'habitude trop discret lors de ces sorties. Cette fois-ci je suis parti devant, en éclaireur sans aucun esprit compétitif évidemment, à quelques kilomètres d'Angers, à une vitesse qui m'a permis de maintenir un écart conséquent avec mes camarades cyclos.
Mercredi 13 novembre 2024 : début de la trêve hivernale, c'est l'occasion de sortir une randonneuse vintage, la Jo Routens de 1952 par exemple (faire un double-clic pour agrandir l'image) : 
Dimanche 10 novembre 2024 : encore une sortie avec le 1er groupe du club. A chaque fois je dis que c'est la dernière fois mais l'allure, qui n'est pas démentielle, est trompeuse. La petite bosse à la sortie d'Ecuillé m'a été fatale. Quand on ne peut pas faire d'effort il vaut mieux se relever ... pourtant sur le plat, un bon 35 km/h ne me fait pas peur, mais je ne me souviens pas qu'il y avait tant de côtes auparavant !
L'hiver arrive et, avec lui, la coupure éponyme, celle qui nous permettra de monter les cols en 2025 avec la socquette légère (l'hiver est, pour les vieux cyclos, la saison propice à se raconter des histoires et à croire au père Noël). Il est également possible de se documenter et je retrouve quelques pages concernant " l'Histoire de Paris-Brest et retour". Vous n'y apprendrez sans doute rien de nouveau, et en plus la qualité de la présentation est médiocre ! ! Mais voici le document, en cliquant sur ce lien :
Paris brest et retour l histoire (771.07 Ko)
Je vous propose la lecture de trois citations malheureusement d'actualité. Elles sont l'oeuvre de cyclotouristes bien connus :
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" le cyclotourisme est la pratique non compétitive du deux-roues mu exclusivement par la force musculaire ". Alex Poyer.
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" En matière de moteur, un vrai cyclotouriste ne connait que le moteur humain ". Confucius.
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" Notre époque verra-t-elle la disparition du cyclotourisme ? Car le moteur encourage ce qu'il y a de plus profond dans l'être humain : la paresse ". Le Dalaï Lama.
La lecture de ces citations choisies au hasard, nous amène à se poser la vraie question : " Ces cyclotouristes mutants doivent-ils être frappés d'indignité ? ". Un référendum va bientôt être organisé afin que tout le bon peuple des pelotons cyclos puisse donner son avis.
Chacun sait que pour être efficace un vélo doit être beau. Donc nu comme au paradis terrestre, dépourvu de verrue mécanique qui l'enlaidi.
Jeudi 24 octobre 2024 : ballade avec "visite" d'une maison de vignes avant Vauchrétien :
Le vieillissement évident des cyclotouristes annonce des difficultés que les (nombreux) mal-voyants ne distinguent pas. Cette obsolescence fait fuir les vrais jeunes qui, seuls, pourraient assurer la pérennité de nos activités et de nos structures. De plus cela engendre l'apparition continue et très rapide des machines à moteur, que l'on peut accepter pour réaliser les déplacements de la vie quotidienne mais pas les exercices physiques ou les activités sportives. Les utilisateurs de machines à moteur, par la perte progressive de leur condition physique, n'auront bientôt plus " aucun avantage " à se faire tirer par leur mécanique. Il leur restera à choisir : soit revenir à une condition physique correcte et à utiliser éventuellement des développements réduits, soit à remiser leur engin devenu inutile. Les premiers vélos pervertis ne datent pas d'hier, ni même d'avant-hier mais n'avaient pas connu de succès auprès nos ancêtres ! Ceux-ci étaient-ils plus futés que nous ? :
Mercredi 25 septembre 2024 : la météo pluvieuse n'encourage pas à mettre une randonneuse dehors. Je poursuis donc la lecture de " Cyclette-revue ". Voici un article paru dans le numéro 37 de septembre 1946. Son titre " Cyclotourisme en groupe ... utopie et non sens " est-il toujours d'actualité ? Pour le lire faire un clic sur le lien suivant :
37 cyclotourisme en groupe utopie (163.37 Ko)
Actuellement je lis les différents numéros de " Cyclette-revue " des années 40. Je vous ai scanné le n° 15 du mois de novembre 1944. Dans la 3 ème page on y voit des noms connus avec lesquels vous avez sans doute roulé ! Découvrez-les en suivant les flèches :
Cyclette revue 15 novembre 1944 lu compressee surlignee (3.41 Mo)
La lecture de " Cyclette-revue " continue et apporte son lot d'articles intéressants et toujours d'actualité. Par exemple : l'utilisation de moteurs électriques par des vélos. L'argument, parfois mis en avant, de l'écologie, ne tenant pas la route puisque la fabrication puis le stockage des batteries usagées sont très polluants ! En 1945 le n° 25 de " Cyclette-revue " en 2è page
Cyclette revue 25 septembre 1945 1 (3.35 Mo) nous informe que le T. C. F. offre un prix important à l'inventeur qui captera l'électricité atmosphérique pour tracter un vélo. Ca c'est écologique mais on attend encore le gagnant du prix ! ! Sinon, les partisans sincères de l'écologie peuvent toujours utiliser la propulsion musculaire, seul moteur vraiment écolo.
Vendredi 20 septembre 2024 : ce matin, sur la levée de Belle Poule, je croise un groupe d'une vingtaine de vélomobiles. Le temps de sortir et préparer mon appareil photo, ils sont à 300 mètres. Je pars derrière eux mais je suis bloqué (minable) à 30 km/h. Un retardataire me double (vroumoummmm !). Sa machine est dotée de deux panneaux solaires sans doute pour alimenter un moteur (voir la 2ème photo). Je tourne les jambes et m'accroche à 36 km/h. Mon cardiologue aurait crié "au fou". Heureusement on arrive aux Ponts de Cé où un feu rouge a bloqué le groupe. Je passe devant et je peux, enfin, prendre quelques photos :

Mercredi 18 septembre 2024 : superbe après-midi pour faire du vélo !
Lundi 9 septembre 2024 : j'ai pu partir (et revenir) par le pont du petit anjou (réservé aux piétons et aux vélos) dont la rénovation est terminée après plusieurs mois de travaux. Le résultat est parfait et c'est tellement plus agréable que de se risquer, parmi les voitures, sur le pont routier de Bouchemaine : 
Dimanche 8 septembre 2024 : reprise des sorties avec le club. La montée de la fameuse côte de Saint Saturnin et sa fin coriace a été l'occasion de mettre en pratique ma science du train : monter peinard et finir fort en accélérant en haut sachant que les cyclos roulent à contre-temps : ils montent en faisant des efforts et ralentissent en haut ! Grosse erreur, souvent renouvelée, qui m'a permis encore une fois, de rettraper les premiers rapidement. Mais la moyenne de 25 km/h seulement, constatée sur l'ensemble de la sortie, confirme que je vieillis et n'avance plus ! !
J'ai réuni quelques photos, choisies parmi celles que j'ai prises lors de mon voyage itinérant en Alsace, dans un fichier que vous pouvez découvrir en cliquant sur le lien suivant :
Photos du voyage itinerant compresse (938.94 Ko)
Jeudi 29 août 2024 : journée encore plus chaude : 32°C tout l'après-midi ! Et 1251 mètres de dénivellation positive, dur, dur ! Photo du passage du col de Schanz, également appelé montée du Geisweg : 
Mercredi 28 août 2024 : parcours autour du Mont Sainte Odile. Journée rendue difficile par le dénivelé, par la chaleur (+ 31°C) mais surtout par la circulation automobile très intense autour des villes mais inexistante pour se rendre au Mont. Photo de la source que fit jaillir sainte Odile :
Photo de ma randonneuse artisanale la plus récente (parmi la douzaine que j'ai le plaisir de faire rouler) devant l'atelier qui l'a vu naître. Un seul regret : avoir quelques dizaines d'années de trop et perdu en même temps la condition physique qui m'aurait permis de tirer profit du potentiel de ce vélo (pour agrandir faire un double clic) :
Mardi 27 août 2024 : Je suis arrivé en Alsace où je viens de regoûter avec les grimpées un peu longues ! A Kaysersberg je suis passé trop tard pour rencontrer l'excellent Roger Hassenforder :
Mardi 13 août 2024 : c'est le jour de sortie de la randonneuse Jo Routens de 1952 ! Elle ne paraît pas son âge :
Dimanche 11 août 2024 : au cours de la sortie du club une cyclote s'est adressée à moi en disant " il est très beau " parlait-elle de moi ou de mon vélo neuf ?
Dimanche 28 juillet 2024 : balade jusqu'à Port Gaurion et à la chapelle Notre Dame du Chanvre à Saint Jean de la Croix :
Mercredi 24 juillet 2024 : je fais mon 4ème Rayon Cyclotouriste Angevin de l'année : celui de Riaillé, réalisé selon le mode "touriste à vélo". Superbe parcours avec très peu de circulation, bravo l'organisateur. Voici deux photos prises à La Pouëze : la chapelle Sainte Emerance et le château du Bignon et une troisième faite lors d'un arrêt pour bien profiter du superbe soleil (faire 2 clics pour les agrandir) :

Dimanche 21 juillet 2024 : sortie de club à allure modérée convenable pour mes vieilles jambes : moyenne légèrement supérieure à 25 km/h !
Jeudi 18 juillet 2024 : après-midi très ensoleillé (30 °C) : rando sur les bords de la Loire avec cette photo prise au Thoureil :

Mardi 16 juillet 2024 : sortie ensoleillée sur les bords de la Loire (faire un double-clic sur chaque photo) :

Dimanche 14 juillet 2024 : après la sortie du club effectuée ce matin, je suis reparti pour profiter du beau soleil au cours d'une courte balade et j'ai fait quelques photos (pour agrandir faire un double-clic sur chaque photo) :
Vendredi 12 juillet 2024 : Une première ! ! Mais du genre dont je me serais bien passé. J'ai " brulé " un pneu arrière jusqu'à la corde. Situation : mon programme prévoyait une série d'exercices à grande intensité. A un moment la très forte pression sur les pédales (l'ancêtre n'est pas toujours cramé) a provoqué le déclenchement de la pédale automatique droite. La chaussure est allée taper dans le frein arrière provoquant le blocage immédiat de la roue. Le pneu n'a pas aimé ! D'autant plus que j'utilise des pneus fins en coton et des chambres ultra-légères en TPU. Le pneu sentait le brulé. J'ai du supprimer le frein qui bloquait la roue et je suis reparti (avec seulement le frein avant) après avoir nettement dégonflé la chambre à air. J'étais alors à 16 km de mon domicile. Au bout de 2 km la chambre a du passer à travers la cavité formée dans le pneu et a éclaté ! Il ne me restait qu' à rentrer à pied. A nouveau 2 km de marche et j'ai cherché une autre solution. J'ai changé la chambre à air contre une chambre traditionnelle en butyl, j'ai essayé de " boucher " le trou du pneu avec l'emplatre en tissu synthétique souple (que je promène toujours dans la sacoche de réparation) et j'ai complété avec plusieurs épaisseurs de carton. En gonflant très peu j'ai pu repartir sur le vélo et terminer la sortie à moins de 15 km/h. Voici une photo du pneu :